Parce que la solitude n'est pas...

[ Dernier jour de Perfect à l'état sauvage. Merci de ne pas essayer de la sauver. Sauf si un joueur se présente pour la prendre dans la partie présentation. ]

La petite jument alezane trottait, toujours avec cette grace infinie dont elle était pourvoue. Ses courbes fines et parfaites se mouvant silencieusement auprès de cette rivière. En fait la jument n'était pas vraiment à ce qu'elle fesait, elle pensait à tout et à rien à la fois. Perdue sans but réel. Parce que la solitude lui pesait, trop lourde et trop encombrante pour sa petite carrure et son grand besoin de voir du monde. Le monde qui se trouvait autour d'elle, elle aurait du y preter plus attention, car aujourd'hui était différent de tous les autres. Aujourd'hui des humains se trouvaient sur ces terres maudites auxquelles elle appartenait. Elle n'avait pas sentit ces odeurs qui pourtant était là, partout autour d'elle bien plus que présente. C'était pplus qu'une certitude à présent que les hommes l'ai repéré. Une petite jument à l'allure si belle et déliée, elle serait parfaite pour eux. Surtout qu'elle ne paraissait pas les avoir vu.
Ils s'approchèrent alors de plus en plus d'elle. Perfect perdue dans son milliard de pensées ne sentait plus rien autour d'elle. Ils avaient des cordes et étaient 3 ou 4 c'était largement suffisant pour pouvoir la capturer. Un bruit cinglant transperça le silence, une chose étrange se glissa autour de l'encolure de la jument, puis avant qu'elle n'ai le temps de vraiment réaliser elle en avait deux autres. Les yeux roulant dans leurs orbites, la jument tentait de se débattre, mais les cordes à son encolure se resserèrent chaque fois qu'elle bougeait. Toujours d'avant elle pouvait de moins en moins respirer. Puis à force de ne plus pouvoir respirer comme elle le voulait, la jument arreta out mouvement de lutte. Sachant qu'elle ne pourrait plus s'échapper et qu'elle devrait attendre. Les hommes commencèrent à avancer pour l'ammener à leur baraquement proche. Elle les suivit sans faire opposition, car cette corde lui lacerait l'encolure, une douleur attroce c'était installée.